3e édition de l'évènement Sur les Chemins des Anges, samedi 15 juin 2024 de 16h à 23h - Château Réal D’or à Gonfaron En savoir plus

Château Demonpère

Rencontre avec

Anne Chenevas-Paule

Directrice Administrative et Commerciale et Benoît Laure, Directeur Général et maître de chai

Le Château Demonpère cultive l’authentique

Cela fait 10 ans que le propriétaire des lieux, Yves Journel est venu visiter le domaine de la Pardiguière pour lui redonner une nouvelle vie et un nouveau nom, avec un joli clin d’œil à la Provence de Pagnol.

C’est la passion des vignerons

Que de chemins parcourus depuis et de terres labourées sur les 32 hectares de vignes, côtoyant 17 hectares d’oliveraies et 95 hectares de forêt méditerranéenne. « Les vignes ont été arrachées puis replantées, et tout est désormais en bio, le vin comme l’huile », affirme avec fierté Anne Chenevas-Paule, directrice administrative et commerciale du Château Demonpère.

« Le domaine a été acquis dès les prémices de la démarche et nous avons naturellement adhéré et participé à son évolution jusqu’à la reconnaissance officielle. C’est la passion des vignerons qui fera une réussite de nos Côtes de Provence sur le haut de la gamme », plaide-t-elle. Dans ce haut de gamme, justement, le Château Demonpère veut en faire boire dans les deux couleurs officielles, rosé et rouge.

 

Il fait l’objet d’une production de 40,5 hectolitres en rosé de gastronomie, dans sa belle bouteille Marius « Pointe de Diamant ». Une valeur sûre, qualifiée « d’angélique » par la directrice administrative et commerciale, en fruits gourmands et rouges, avec ses notes de litchie et d’épices, issue de Grenache (70%), Cinsault (20%) et Rolle (10%, accentuant sa pâleur). Côté rouge, passé un an en fût de chêne (à 40%), assemblage de Syrah (majoritaire) et Grenache, sont produits 35 hectolitres d’un vin puissant, tannique, en fruits rouges, noirs et épices.

« Les vins sont identifiables, leur goût est particulier, il est par conséquent très important de les distinguer par une Dénomination dédiée, d’où Notre-Dame des Anges » souligne Anne Chenevas-Paule.